19 avril 2010
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Le sake est un alcool de riz obtenu par fermentation. En français, il a tendance à désigner spécifiquement l'alcool japonais, mais au Japon, le mot désigne tout type d'alcool de riz. Ainsi, l'alcool de riz japonais se nomme là-bas Nihonshu qui signifie littéralement alcool japonais.
Le sake n'est pas un vin, mais bien un alcool fermenté. Il est donc l'équivalent de notre bière. Il se compose donc schématiquement d'eau qui doit être la plus pure possible, de riz dont les variétés sont soigneusement sélectionnées et d'une levure typiquement japonaise, le kōji.
Le sake peut se déguster chaud ou froid, en fonction des gouts de chacun mais surtout des plats qu'il accompagne. Dans le commerce, il est conservé et vendu en bouteilles. Mais le mode de conservation traditionnel reste le baril. De riches et généreux donateurs (souvent des entreprises) font régulièrement des dons de barils de sake aux temple pour se porter chance. C'est notamment le cas au sanctuaire Meiji de Tōkyō.
Le sake occupe une place primordiale dans le scénario d'Ōkami. Basée sur la mythologie shintoïste et le récit du légendaire dragon à huit têtes Yamata-no-Orochi, l'histoire nous propose de triompher de la bête en usant de sa faiblesse pour cet alcool de riz et de l'enivrer. Ivre, le dragon n'est plus capable de coordonner ses mouvements et devient une proie plus facile. Mais attention, car Orochi est un fin palais, et seul le sake des huit purifications a ses faveurs. Ce sake est produit par Kushinada, la jeune fille qu'Orochi exigeait justement en sacrifice. Cruelle ironie du sort !
Et c'est finalement Susano, le plus grand guerrier du Nippon qui assène le coup de grâce à Orochi. Remarquez le Magatama qu'il porte autour du cou.
Le sake n'est pas un vin, mais bien un alcool fermenté. Il est donc l'équivalent de notre bière. Il se compose donc schématiquement d'eau qui doit être la plus pure possible, de riz dont les variétés sont soigneusement sélectionnées et d'une levure typiquement japonaise, le kōji.
Le sake peut se déguster chaud ou froid, en fonction des gouts de chacun mais surtout des plats qu'il accompagne. Dans le commerce, il est conservé et vendu en bouteilles. Mais le mode de conservation traditionnel reste le baril. De riches et généreux donateurs (souvent des entreprises) font régulièrement des dons de barils de sake aux temple pour se porter chance. C'est notamment le cas au sanctuaire Meiji de Tōkyō.
Le sake occupe une place primordiale dans le scénario d'Ōkami. Basée sur la mythologie shintoïste et le récit du légendaire dragon à huit têtes Yamata-no-Orochi, l'histoire nous propose de triompher de la bête en usant de sa faiblesse pour cet alcool de riz et de l'enivrer. Ivre, le dragon n'est plus capable de coordonner ses mouvements et devient une proie plus facile. Mais attention, car Orochi est un fin palais, et seul le sake des huit purifications a ses faveurs. Ce sake est produit par Kushinada, la jeune fille qu'Orochi exigeait justement en sacrifice. Cruelle ironie du sort !
Et c'est finalement Susano, le plus grand guerrier du Nippon qui assène le coup de grâce à Orochi. Remarquez le Magatama qu'il porte autour du cou.